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Testé pour vous: faire l’amour tous les jours pendant 1 mois

La rédaction

Certains prétendent que les couples les plus heureux sont ceux qui font l’amour souvent. Éline, notre journaliste, a des doutes sur la question... Pour savoir si le sexe à forte dose est vraiment la recette du bonheur amoureux, elle s’est prêtée au jeu pendant un mois. Voici son compte-rendu!

Avant de me lancer dans le compte-rendu détaillé de ce test, mettons les choses au point tout de suite. Oui, nous avons fait l’amour tous les jours, même pendant la période la plus critique de mon cycle. Non, mon amoureux n’était pas du tout volontaire. Et oui, c’était certainement l’idée la plus zarbi de toute ma carrière de journaliste...

 

Un mois = 30 fois

Mon challenge du jour: annoncer à mon mec que nous allons faire l’amour pendant un mois entier. L’autre bonne nouvelle, c’est que nous allons commencer tout de suite. Et ça tombe bien: c’est justement les vacances! 

 

Semaine 1: les vacances en mieux 

Démarrer ce test lorsqu’on est en vacances: on ne pouvait pas trouver meilleur timing. Dès qu’on est en congé, on est forcément plus cool et plus amoureux. Et qui dit humeur romantique, dit libido en hausse. Un coucher de soleil, un dîner aux chandelles ou chéri en maillot sexy constitue le prélude idéal à une séance de galipettes. A fortiori, si ces galipettes doivent se répéter tous les jours sans exception. Ça fausse le jeu? Oui, mais dans ce genre de projet, mieux vaut mettre toutes les chances de son côté. Et c’est le cas: l’atmosphère est au top. Parfait pour mon test grandeur nature qui commence... délicieusement. 

 

 

Semaine 2: EXTÉ-NU-ÉE

Hors vacances, mon copain et moi faisons l’amour à un rythme considéré comme standard pour le Belge moyen: entre 2 et 3 fois par semaine. Du coup, la cadence infernale d’une fois par jour est pour nous “hors norme”. Surtout maintenant que nous avons repris une vie normale. Le mercredi soir, en me regardant dans le miroir de la salle de bains, je soupire en pensant que lorsque je me serai brossé les dents et soigneusement démaquillée, je devrai encore jouer les femmes fatales. Or, je n’ai absolument aucune envie de passer à l’action. Là, tout de suite, mon seul désir est de dormir. Ce gros coup de fatigue (et de découragement) me permet de vérifier un adage que je croyais complètement farfelu.

À peine lancée, je réalise en effet que plus on le fait, plus on en a envie!

Ce qui se confirme deux jours plus tard sur le coup de minuit. Nous sommes sortis chacun de notre côté et la fatigue se fait clairement sentir. Mais après quelques minutes seulement, nos premières caresses un peu forcées laissent vite place à un feu d’artifice. Ce n’est pas tout à fait la même fougue que celle ressentie durant les vacances, mais on n’est pas loin.

 

Semaine 3: désir en hausse

Après deux semaines d’activité intense sous la couette, je nous sens sexuellement plus compatibles que jamais. Il nous arrive même d’avoir un peu de mal à nous contenir en public. Ma libido qui, déjà en temps normal, est plutôt élevée, atteint des sommets. La seule chose qui me vient à l’esprit est: pourquoi ne fait-on pas comme ça depuis huit ans? Nous avons à peine fini de faire l’amour que je pense déjà à la prochaine fois. Notre cadence actuelle ne me suffit plus. J’ai l’impression que, comme les mecs, je pense au sexe toutes les 9 secondes. Je crois qu’on peut considérer que c’est officiel: je suis une enragée du sexe. Je n’en ai jamais assez. 

 

 

Semaine 4: une vraie révélation

Nous poursuivons l’expérimentation. Non seulement, j’ai la sensation que notre désir grandit et évolue de jour en jour, mais aussi que l’expérience proprement dite entre tout à coup dans une autre dimension. Il nous arrive bien sûr de faire l’amour en coup de vent, mais nous prenons de plus en plus souvent le temps de faire les choses dans les règles de l’art. En savourant chaque instant. Et ça, c’est tout le contraire de ce que j’avais imaginé. Je pensais que nous finirions par nous lasser de cette cadence infernale. En fait, c’est tout sauf le cas! Mon verdict: plus on le fait, mieux c’est! 

 

 

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