3 astuces imparables pour échapper à la déprime saisonnière
1. Faites le plein de lumière
Puisque ses apparitions sont plus timides et plus courtes, il va falloir aller à sa rencontre.
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On ne vous dit pas d'aller vous exposer sous des rayons artificiels (ça ruinerait votre santé). L'idée, c'est de pointer votre fraise dehors dès qu'il fait clair. En hiver, la surproduction de mélatonine, hormone du sommeil, provoque fatigue physique et déprime. Good news: la lumière bloque sa synthèse.
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Chez vous, laissez les rideaux grand ouverts. Au boulot, essayez de travailler près d'une source de lumière.
2. Continuez le sport (ou commencez, c'est selon)
Vous avez froid, vous êtes fatiguée... Votre réflexe naturel? Hiberner. Erreur! En attendant le printemps, il est essentiel de bouger. Pourquoi? Parce que le sport dope votre taux d'endorphines, hormones du bonheur. En activant vos muscles, vous remodelez votre silhouette (pas inutile en ces temps de raclettes) et grimpez surtout sur l'échelle du bonheur.
- Élisez votre sport chouchou et tenez-vous à un programme précis (20 minutes de vélo tous les matins).
- Fixez-vous des objectifs atteignables (2 h de sport avant d'aller bosser, c'est contre-productif).
- Et ne laissez personne vous détourner de ce nouveau challenge sportif. "Un resto ce soir?" "Hm. Après mon footing!"
3. Mangez vitaminé
Manger trop lourd, trop gras, trop sucré plombe votre tonus. A contrario, consommer fruits, légumes et poissons en suffisance aurait un réel effet bonne humeur. Introduisez les aliments suivants dans vos menus quotidiens.
- Le chocolat: aliment euphorisant numéro 1, il contient entre autres de l'anandamine, molécule réputée pour son effet "planant".
- La banane: elle est riche en tryptophane, acide aminé qui apaise, booste le moral et la confiance, et en hydrates de carbone qui stimulent la production de sérotonine, hormone du bonheur. Pour connaître tous les bienfaits de la banane, c'est par ici!
- La tomate: une étude réalisée par une université chinoise démontre que les individus qui consomment des tomates 2 à 6 fois par semaine ont 46 % de risque en moins de souffrir de dépression face à ceux qui n’en mangent qu’une fois par semaine. Merci à qui? Au lypocène, antioxydant présent en quantité dans l'aliment.
- Les poissons gras (saumon, hareng, sardines...): riches en Omégas 3, ils concourent à maintenir votre équilibre émotionnel. Des études ont démontré que des patients qui présentaient moins d’Omégas 3 dans le sang que la moyenne étaient moins susceptibles de voir la vie en rose.
* Sondage Ipsos réalisé sur 1000 Belges (500 hommes – 500 femmes) en novembre 2013.
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