La robe de mariée de Kate Middleton, une pure copie?

Shocking! La Grande-Bretagne est en émoi, après qu'une plainte ait été déposée pour "violation de la propriété intellectuelle" à l'encontre de la maison Alexander McQueen et de sa directrice artistique Sarah Burton. La superbe robe de satin et dentelle de la duchesse de Cambridge ne serait pas l'œuvre de la marque de luxe, mais celle de Chris­tine Kendall, une styliste anglaise.

Drôle de coïncidence

En 2010, alors que Kate Middleton cherchait une robe pour ses futures noces, Christine Kendall lui aurait envoyé les croquis de l'un de ses modèles. Elle aurait alors obtenu une courtoise réponse du palais.

Mademoiselle Middleton était particulièrement intéressée de voir votre travail et vous remercie d'avoir pris le temps de lui écrire. Si jamais elle souhaite en voir d'avantages, je vous tiendrai informée.

 

Mauvaise surprise

N'ayant ensuite plus eu de nouvelles, elle assista au mariage princier, devant son téléviseur, et affirma y avoir reconnu la pièce qu'elle avait créée. La créatrice accuse depuis la maison Alexander McQueen d'avoir volé ses ébauches, tout en dédouanant la femme de William, qu'elle ne juge pas responsable.

Ma cliente est certaine que le modèle de sa compa­gnie a été copié et utilisé illé­ga­le­ment. La plainte n'est abso­lu­ment pas contre la duchesse et il n'y aucune allé­ga­tion envers le Palais.

 

Pas si simple

La direction de la firme de haute couture se dit choquée par cette attaque, réfutant même avoir eu connaissance du travail de Christine Kendall. Le palais lui, affirme n'avoir jamais reçu son courrier ni ne lui avoir répondu.

Nous sommes totalement déconcertés par cette plainte. Christine Kendall nous a approchés il y a quatre ans et nous lui avions dit que cette histoire de copie était absurde. Sarah Burton n'a jamais vu aucun croquis de Christine Kendall et ne connaissait pas son existence avant qu'elle ne prenne contact avec nous.

Alors veritable scandale ou coup de pub volontaire? Il faudra attendre le jugement de la justice britannique pour la savoir.