Pour réaliser cette étude, David McCandless a collecté des données sur le célèbre réseau social. Il a observé les changements de 10.000 statuts au fil des mois et les a répertoriés sous forme de graphique. Selon lui, plusieurs facteurs peuvent expliquer ces pics de ruptures.

La saison des amours

Tout d'abord, mars suit de près la Saint-Valentin. On peut donc imaginer que certaines personnes préfèrent attendre que l'événement soit passé pour rompre. Ensuite, après trois mois d'hibernation, mars signe également le retour du printemps. On recommence à sortir et la libido se réveille, ce qui peut favoriser les infidélités. Outre-Atlantique, ces infidélités sont d'ailleurs plus nombreuses lors du "Spring Break", ces voyages organisés par les étudiants américains et qui riment bien souvent avec alcool et sexe.

Pour décembre, la principale raison invoquée par le chercheur est l'avarice. Se séparer de son partenaire juste avant les Fêtes, ça fait des économies...

Vacances dangereuses

L'étude met également en lumière d'autres périodes qui favorisent les ruptures: avant les vacances, pendant les vacances et après les vacances. Faire ses valises aurait donc bien deux significations.

Si cette étude est issue de données Facebook et n'est donc pas ultra fiable d'un point de vue purement scientifique, les disparités entre les mois, flagrantes sur le graphique, laissent tout de même supposer que certaines périodes de l'année sont réellement plus propices aux séparations amoureuses.